Le type d’effort lié à la marche, effort dit « d’endurance », génère peu de contre-indications, contrairement aux efforts intenses et violents, dits « en résistance », qui sont parfois source de problèmes, notamment cardiaques.
Lors d’un effort modéré, mais prolongé, le rythme cardiaque augmente, passant à 120-130 pulsations/ minute, au lieu de 60 à 80 au repos. Dans ces conditions, le coeur se vide et de se remplit totalement, ce qui a pour effet, à moyen terme, d’accroître le volume des cavités cardiaques, donc les capacités cardiaques.
Avec la marche, les muscles fonctionnent en aérobie, c’est-à-dire qu’ils reçoivent assez d’oxygène pour transformer les sucres et les graisses en énergie.
Ces efforts peuvent durer longtemps sans dommage pour l’organisme, du moins au niveau cardio-vasculaire et musculaire, à condition que l’on s’alimente et que l’on s’hydrate correctement.